L’anthropisation (transformation des milieux par les activités des sociétés) de l’ensemble des milieux de la Terre soulève l’impact de l’activité humaine sur notre environnement est notre responsabilité.
À l’échelle mondiale, les resources naturelles sont de plus en plus exploitées et de plus en plus rares. Cette exploitation devient problématique et pose la question de la gestion durable des ressources. En France, cette gestion durable existe depuis déjà longtemps : l’ordonnance de 1969 mise en place par Colbert, ministre de Louis XIV, gère la forêt française par intérêt militaire et économique.
Cependant, la gestion durable à l’échelle internationale demande un preuve de coopération entre États qui reste difficile à mettre en place dû au rejet d’un leadership international, par certaines grandes puissances, sur l’environnement, ainsi qu’aux intérêts économiques qui restent souvent prévalents. La protection et la présérvation de l’environnement nécessitent une gouvernance mondiale sur la question et une réelle motivation coopérative de la part des États.
L’impact que nous avons à l’échelle individuelle n’est pas à rejeter, car la production de GES par de nombreux pôles économiques sont la réponse d’une demande de consommation importante de notre part. À notre échelle, et grâce à une entreprise commune, nous pouvons prendre des décisions qui peuvent aider la planète. Malheureusement, la montée du climatoscepticisme nous montre la difficulté de la mise en place d’une telle entreprise commune.